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Marcel Edant collabore à L’Illustration dans les années 1887-1892, avec des articles sur des sujets divers comme "Le mur des disparus en mer" (31 octobre 1891), "L’anthropoplastie galvanique" (24 janvier 1891). Le 6 août 1892, il évoque "L’expulsion des chiffonniers", avec des illustrations de Berteault.

Dates de naissance et de décès non connues.

Collaborateur occasionnel de L’Illustration, Roland Engerand est un homme de Lettres né en 1892. Il signe quelques articles en 1942 et 1943 : "Un portrait de Turgot peint par Drouais retrouvé dans le cabinet du maire de Limoges" (18 avril 1942), "Vendanges en Touraine" (26 septembre 1942), "La prière sur l’Acropole à Limoges" (8 mai 1943). Il est l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages.

Collaborateur occasionnel de L’Illustration, Robert Eude publie un article intitulé "L’enfance qui chante" (21 novembre 1942), dans lequel il relate trois expériences chorales en Normandie ("Doudeauville, dans la campagne normande", "Déville-lès-Rouen" et "La Cité des Sapins à Rouen"). Il est l’auteur de plusieurs livres consacrés à divers aspects de l’histoire de la Normandie : L'Église et la paroisse de Saint-Ouen de Rouen pendant la période révolutionnaire (1789-1802) (1939), Le Conseil général de la Seine inférieure, ses origines, son évolution, ses membres (1942), [Les sous-préfet de Seine inférieure]u (1946), Les maires de Rouen (1850-1950), Les Archevêques de Rouen depuis le concordat de 1802 (1954).

Paul Eudel, né au Crotoy (Somme), est un armateur, négociant, collectionneur et chroniqueur d'art. Il est rédacteur au Bulletin bibliographique, au Courrier de Nantes et au Phare de la Loire. Il a donné dans L’Illustration une suite d’articles sur les ateliers des peintres publiés en 1886.
Paul Eudel publie également une série d’ouvrages annuels sous le titre L’Hôtel Drouot et la curiosité. Fin connaisseur des salles des ventes, il écrit un autre livre qui a connaît un important succès : Trucs et truqueurs (1907), ainsi que Les truquages, altérations, fraudes, contrefaçons dévoilés…ou l’art, pour les collectionneurs, de ne pas se faire avoir et de déjouer les pièges des vendeurs.
On lui doit aussi une étude sur L’orfèvrerie algérienne et tunisienne (1895). Il est enfin l’auteur de pièces de théâtre.

Jean Paul Perrin