90 ans de la mort de Léon Bonnat
Originaire de Bayonne, il vit de 1846 à 1853 à Madrid, où il étudie l’art baroque espagnol, formé notamment par Madrazo. En 1854, il retourne en France et rentre dans l’atelier de Léon Cogniet, à l’école des Beaux-Arts de Paris. A partir de 1870, et durant 10 ans, il décide de voyager : trois ans pensionnaire de la villa Médicis en Italie, puis la Grèce, l’Egypte et la Turquie. Il trouve sa voie, et se consacre alors exclusivement au portrait. A 35 ans, il est célèbre : l’impératrice Eugénie devient son mécène, il est fait commandeur de la Légion d’honneur, membre de l’institut, directeur de l’Ecole des Beaux-Arts.
On lui doit plus deux cents portraits, dont ceux de Louis Pasteur, Alexandre Dumas, Victor Hugo, Ingres, Adolphe Thiers …
Il inspira Georges Braque ou encore Henri Toulouse-Lautrec.
Sa notoriété l’amène également à la réalisation d’autres types de commandes, plus ambitieuses : les murs du Panthéon (le Martyre de Saint Denis), les plafonds de l'Hôtel de Ville et du Palais de Justice de Paris.
Sa fortune considérable lui a permis de constituer une des plus importantes collections privées de son temps : des sculptures, des bronzes, des peintures et plus de 2000 dessins, notamment de Greco, Goya, Géricault, Delacroix ou encore Ingres.
Il lègue, à sa mort, sa collection personnelle au musée de Bayonne qui porte désormais son nom.
L'Illustration, qui devient dès 1906, le premier magazine au monde, lui a consacré de nombreux articles et reportages. Retrouvez l'intégralité de ces articles et photographies sur L'Illustration.
On lui doit plus deux cents portraits, dont ceux de Louis Pasteur, Alexandre Dumas, Victor Hugo, Ingres, Adolphe Thiers …
Il inspira Georges Braque ou encore Henri Toulouse-Lautrec.
Sa notoriété l’amène également à la réalisation d’autres types de commandes, plus ambitieuses : les murs du Panthéon (le Martyre de Saint Denis), les plafonds de l'Hôtel de Ville et du Palais de Justice de Paris.
Sa fortune considérable lui a permis de constituer une des plus importantes collections privées de son temps : des sculptures, des bronzes, des peintures et plus de 2000 dessins, notamment de Greco, Goya, Géricault, Delacroix ou encore Ingres.
Il lègue, à sa mort, sa collection personnelle au musée de Bayonne qui porte désormais son nom.
L'Illustration, qui devient dès 1906, le premier magazine au monde, lui a consacré de nombreux articles et reportages. Retrouvez l'intégralité de ces articles et photographies sur L'Illustration.